Dans une école attaquée de tous les côtés par des politiques libérales décomplexées, où les protocoles remplacent l’élaboration de réponses adaptées, où la mise en concurrence détruit les collectifs et où la contractualisation accentue les inégalités, comment ne pas être fragilisé.es ? Combien sommes nous à éprouver des difficultés temporaires ou plus importantes dans l'exercice de notre métier ?