Il y a quelques semaines, le Maire de Marseille communiquait sur son refus de mettre en place la réforme des rythmes scolaires. Dans sa déclaration, aucune ambition pour la réussite de tous les élèves, aucune exigence d'une réforme permettant de rattraper les dégâts des années Sarkozy, par le rétablissement des moyens enlevés aux écoles, des RASED, la mise en place de nouveaux programmes. C'est une vision passéiste de l'école à laquelle la Municipalité s'accroche en essayant au passage de masquer les années de manque d'investissement dans le temps péri-éducatif auquel sont confrontées les familles.